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Cette étude analyse les déterminants de la fréquence de consommation des aliments halal parmi les migrants musulmans dans les régions métropolitaines de Tokyo et Séoul, en appliquant des modèles logit aux données de l'Enquête sur les musulmans étrangers au Japon menée en 2005 et 2006 par l'Université de Waseda et aux données de l'Enquête sur les musulmans de la Corée du Sud menée en 2011 par l'Université de Hanyang. Les variables indépendantes comprennent des variables catégoriques pour l'âge, l'état matrimonial, l'année de l'entrée, la nationalité, l'enseignement, le statut d'emploi et un logement. 

L'analyse logit multinomial de données japonaises montre que être les salariés a un effet positif et l'enseignement secondaire ou moins a un effet négatif sur l'utilisation des magasins halal deux fois ou plus par semaine et que les âges inférieurs à 25 ans, 30-34 ans, être marié, les Pakistanais, l'enseignement secondaire ou moins et les travailleurs indépendants ont un effet positif et les Bangladais, les employés, vivant dans la propre maison et vivant dans des logements publics ont un effet négatif sur l'utilisation des commerces halal une fois par semaine. 

L'analyse logit multinomial de données coréenne révèle qu'aucune des variables indépendantes a un effet significatif sur l'utilisation des magasins halal deux fois ou plus par semaine et que l'entrée en 2005-2006, l'entrée en 2007-2008, l'entrée en 2009-2010, les Indonésiens, les Bangladais et les Pakistanais ont un effet positif, tandis que les âges inférieurs à 25, 25-29 ans, les travailleurs indépendants et les employés ont un effet négatif sur l'utilisation des magasins halal fois par semaine. Au Japon, les Bangladais sont moins susceptibles d'utiliser des magasins halal une fois par semaine, mais en Corée du Sud, ils sont plus susceptibles. On présentera aussi les résultats de l'utilisation de restaurants halal. On peut probablement présentera aussi les résultats sur Taipei (le sondage est presque fini).